J’ai commencé à introduire la figure du loup-garou parce que je sentais que l’œuvre avait besoin de quelque chose de grotesque et pouvant suggérer l’idée de métamorphose. Je voulais utiliser des parties de corps de monstres comme une alternative aux parties des corps humains qui sont devenus un lieu commun dans l’art contemporain.
Plâtre, peinture, cheveux synthétiques, résine, paillettes
The Brant Foundation, Greenwich, Connecticut